PLQ Dégallier-Lachenal : des logements pour nos enfants - vraiment ?

On peut comprendre les citoyen/ne/s qui ont déploré le succès du référendum lancé par l’AHQLac, arguant de la suppression de logements projetés et/ou du retard pris par le projet, vus sous l’angle de la peine qu’ont nos enfants à se loger. Sur cet aspect-là justement, voyons cependant quelques chiffres.
Selon les statistiques, la population du canton augmente d’environ 3’000 à 6’000 âmes par an. Cette augmentation se compose du solde migratoire, exclusivement étranger (3’000 à 4’000 âmes) et de l’excès de naissances sur les décès (1’600 naissances par an). La statistique fédérale montre de plus que ces enfants naissent dans les couples d’immigrés. Sans les immigrants, la population genevoise (mais aussi suisse) diminuerait, même en tenant compte des naturalisations («Bilan» no 22 du 11.12.2013 p. 12).
Pour dire les choses abruptement, on ne construit donc pas des logements pour nos enfants, mais à cause des immigrants, même si ce n’est pas de leur faute (c’est nous, en Suisse, qui les faisons venir !), lesquels entrent en compétition avec la population locale dans sa quête de logements. lire la suite...

A propos de la cabane du Twins Club à Port-Choiseul

Deux poids, deux mesures.
S’il y a une verrue au bord du lac, c’est bien la cabane des pêcheurs au chemin du Vieux-Port. Le commune de Versoix, M. Genequand en tête, assurait alors que les autorités versoisiennes ne pouvaient pas s’opposer à une décision cantonale. Deux cabanes inesthétiques ont alors été construites pour deux pêcheurs (un seul à l’heure actuelle). La Capitainerie autorise l’installation temporaire d’une cabane en bois en faveur du Twins Club, qui propose des activités nautiques sympathiques pour un grand nombre, sans concurrencer le CNV ou la Maison de la Grève - et la Mairie s’offusque ?! Le Maire adresse une lettre sévère aux autorités cantonales... Dommage qu’il n’en ait pas fait de même en son temps pour la cabane des pêcheurs ou pour l’accès à la plage de la Bécassine.

Eliane Riesen

A propos de l’ancienne place des Forains.

Pourquoi ne pas rendre l’espace à la nature ?
Il y a bien des endroits pour les chiens et les enfants. Cela permet une économie d’entretien et un peu de paix pour notre faune sauvage. L’homme étant le prédateur le moins respectueux, à bon entendeur, cordialement.

Fabienne Brunet