24.03.2015 par MJ
num.247 avril 2015 p.01
EDITO 247

Or donc il y aurait quelques problèmes à la gouvernance versoisienne, les quotidiens genevois en ont parlé : notre commune traverse des moments d’angoisses terribles voire torrides, la presse people est sur les dents. Cependant, notre canard local n’a pas envie de jeter de l’huile sur un brûlot de «On-dit».

A quelques semaines des élections notre rédaction attend la suite de cette saga comme on attendrait la suite d’un feuilleton du genre «Municipal mode d’emploi».

Relevons simplement qu’à part ces révélations passionnantes, rien de bien nouveau dans notre belle commune versoisienne :

  • On glisse toujours autant sur la nouvelle « pato versoisienne », comme au sein de la mairie.
  • La place du Bourg a retrouvé sa froideur et fête à sa manière le départ de son mentor.
  • Les meubles de la nouvelle bibliothèque sont toujours en attente, et la culture avec elle.
  • Les décorations lumineuses sont de plus en plus fragiles, comme une partie du personnel communal.
  • La déco florale reste toujours aussi flamboyante, à l’image des révélations précédentes.
  • Les trains ne roulent toujours pas au quart d’heure, sauf celui de l’UBS lors de la fête du chocolat.
  • Les transports publics locaux sont au repos.
  • Le paquebot est toujours vide d’occupants.
  • La préfecture en attente de réfection.
  • La salle omnisport tant attendue … attend toujours.
  • Et comme Félicie, la piscine couverte attend, aussi.
  • Versoix tousse à cause de la pollution engendrée par les milliers de voitures la traversant au quotidien.
  • Et pas question d’un tunnel d’évitement comme à Meyrin ou à Vésenaz.

Mais de tout ça, la presse genevoise n’en parle pas !

PS : Comme ce billet a été écrit avant le débat du 30 mars, certains problèmes auront certainement trouvé une réponse.

auteur : Michel Jaeggle

<< retour